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NOUS LES ‘’ETUDIANTS FANTOMES ‘’.

Heurtés de plein fouet par la situation sanitaire que traverse le pays, les étudiants sont les grands oubliés. Ils se battent comme ils peuvent pour ne pas être sacrifiés, sur l’autel de la crise, par manque de vision politique.
We didn't start the fire
It was always burning
Since the world's been turning
We didn't start the fire
No, we didn't light it
But we tried to fight it

Billy Joel

La précarité des étudiants n’est plus à démontrer depuis l’immolation par le feu d’un étudiant de 22ans devant les locaux du Crous. Nombreux sont ceux qui parmi nous  vivent en dessous du seuil de pauvreté. Cette situation ne date pas d’hier et voilà qu’elle s’aggrave davantage avec les conséquences de la crise épidémique.

 

Ni déni, ni dramatisation

Privés d’abord de cours et confinés pour les six derniers mois de l’année universitaire 2020, enthousiastes nous reprenons   le chemin de l’université en septembre. Mais graduellement de nouvelles mesures contraignantes sont installées, pour palier à la prolifération du virus, affectant petit à petit la qualité pédagogique, la sociabilité, et notre  santé mentale.  Cours à distance, isolement, charge de travail favorisent un climat anxiogène.

 

Pour certains, le terme est un euphémisme car il s’agit bel et bien de dépression, de suicide …

 

Pour panser les maux, penser les solutions.

Face à ce marasme sans précédent, et pour ne pas sombrer dans le fatalisme, le défaitisme ou l’apathie, il est urgent plus que jamais de nous soutenir les uns les autres. Et l’objectif de ce blog va dans ce sens :

​

  • Informer sur le monde qui tourne   encore  moins rond mais qui résiste.

  • Sensibiliser sur des thèmes plus ou moins graves.

  • Libérer la parole en vous prêtant notre mégaphone.

  • Divertir pour vous aider à mieux vivre cette période.

   

ALORS, RÉSISTONS.

Zineb Stitou et Simon Vercaemst

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